Projet Jeu d'enfant (présenté au Nikon Film Festival)
Comment m’est venu l’idée de ce scénario, de ce thème ? C’est assez simple, depuis quelques années je souhaite participer au Nikon Film Festival mais jusqu’ici aucun des thèmes proposés ne m’inspiraient ou plutôt j’avais beaucoup de mal à projeter une partie de moi dans ce que j’écrivais.
Le thème de cette édition « Un jeu » était différent et m’impactait beaucoup plus que tous ceux proposés les autres années. L’idée d’écrire un court-métrage basé sur une opposition forte (l’innocence et la réalité) est venue toute seule comme si le fait de mettre cette opposition sur papier était une évidence pour moi.
De plus le climat actuel (la montée en puissance de la violence, les violences policières) m’a encore plus poussé à écrire ce que cela m’inspirait. Voila comment j’en suis venu à écrire ce scénario.
Même si je n’ai pas dans l’idée de sensibiliser les spectateurs avec ce très court-métrage de moins de 2 min 30, j’ai trouvé important d’un point de vue personnel de pouvoir mettre à l’écran ce que je ressent face à toute cette violence.
Je reconnais que le sujet est sensible, surtout actuellement, et qu’il peut potentiellement posé problème mais je tiens a souligner que je ne dénonce ni ne soutient aucun partis ici, mon seul « but » est de faire mon propre témoignage de cette situation et le fait de pouvoir le présenter à un festival m’encourage encore plus dans toute ma démarche.
D’un point de vue plus technique ma volonté est vraiment de retranscrire l’énergie de l’enfance avec d’une part la caméra constamment en mouvement et d’une autre le fait de filmer des enfants de jour, dans la lumière pour accentuer ce côté pur et à l’opposé filmer la froideur du monde adulte avec une caméra fixe et lente dans une ambiance sombre de nuit noir et glaciale.
Le thème de cette édition « Un jeu » était différent et m’impactait beaucoup plus que tous ceux proposés les autres années. L’idée d’écrire un court-métrage basé sur une opposition forte (l’innocence et la réalité) est venue toute seule comme si le fait de mettre cette opposition sur papier était une évidence pour moi.
De plus le climat actuel (la montée en puissance de la violence, les violences policières) m’a encore plus poussé à écrire ce que cela m’inspirait. Voila comment j’en suis venu à écrire ce scénario.
Même si je n’ai pas dans l’idée de sensibiliser les spectateurs avec ce très court-métrage de moins de 2 min 30, j’ai trouvé important d’un point de vue personnel de pouvoir mettre à l’écran ce que je ressent face à toute cette violence.
Je reconnais que le sujet est sensible, surtout actuellement, et qu’il peut potentiellement posé problème mais je tiens a souligner que je ne dénonce ni ne soutient aucun partis ici, mon seul « but » est de faire mon propre témoignage de cette situation et le fait de pouvoir le présenter à un festival m’encourage encore plus dans toute ma démarche.
D’un point de vue plus technique ma volonté est vraiment de retranscrire l’énergie de l’enfance avec d’une part la caméra constamment en mouvement et d’une autre le fait de filmer des enfants de jour, dans la lumière pour accentuer ce côté pur et à l’opposé filmer la froideur du monde adulte avec une caméra fixe et lente dans une ambiance sombre de nuit noir et glaciale.
Au niveau de l'affiche j'ai opté pour l'utilisation d'une photo que j'ai moi-même prise de la main d'Angélique Simon avec l'arme. Comme il s'agissait de mon projet je voulais vraiment lui insuffler mon âme le plus possible, jusque dans la création de l'affiche. La présence des pétales est faite pour adoucir le côté brut de la présence d'une arme à feu sur l'affiche. Je voulais également absolument partir sur un travail bichrome (d'où l'utilisation du grenat qui est une de mes couleurs préférées et du noir).
La typo est très fluide et un peu agressive, histoire de rappeler l'opposition entre l'insouciance de l'enfance et la dureté du monde adulte.
Deux plans tirés du film (film complet disponible sur ma chaîne youtube et sur le site du Nikon Film Festival)
